top of page

UN JOUR, NOS VIES SE SONT CROISÉES

A propos...

Développant des thèmes qui me tiennent à cœur, ce recueil de nouvelles parle de transition, de différences culturelles, d’amours défendues, d’amitiés surprenantes, de secrets de famille et d’évolution spirituelle, mais surtout de courage face aux épreuves de la vie.

Je le dédie à toutes les femmes, qu’elles le soient de naissance ou en devenir, mères, infirmes, bonnes sœurs ou travailleuses du sexe.

 

La quatrième de couv'

Un jour, l’espace d’une seconde ou plus longuement, leurs chemins se croisent. À partir de cet instant, leurs vies ne seront plus jamais les mêmes.
Ces nouvelles nous invitent à partager les épisodes marquants de la vie de femmes d’horizons très divers, ainsi que leurs questionnements au carrefour de leur existence. 
Qu’elles soient prostituée ou religieuse, transsexuelle ou séropositive, les expériences qu’elles traversent nous font prendre conscience que chaque femme est extraordinaire.

 

Ce recueil de nouvelles n'est plus commercialisé. Il m'en reste quelques exemplaires, que j'offre aux lectrices pour toute commande de mon dernier roman dédicacé, Oui, Chef ! Réservez-le en m'écrivant ici

Extrait 

"Je l’ai remarquée tout de suite dans la foule du night-club bondé, assise sur un tabouret au sein d'un groupe d'amis, ses cheveux châtains flottant tout autour d'elle. Dès qu’il la rencontra, mon regard fut comme aimanté ; j’étais troublée au plus profond de mon être. Un sixième sens prit le contrôle de mon cerveau, tandis que je me déconnectais du reste du monde. Je restai médusée à l'observer discrètement, sirotant mon gin tonic au bar. Un de ses amis l'entraîna sur la piste. Elle se mit à danser gracieusement, mue davantage par la mélodie que par le rythme. Ses mouvements lents et amples donnaient une impression de liberté absolue, sa présence détachée et insouciante me fascinait, j'étais littéralement sous le charme. Ses longs cheveux fins balayaient son corps, épousaient ses formes jusqu'à la naissance de ses reins. Elle dansait comme si elle était seule au monde. Inconfortablement adossée, les coudes sur le comptoir derrière moi, je la regardais posséder la piste sans pouvoir détacher les yeux de ce spectacle féerique. C’était donc ça, le coup de foudre ?"

 

bottom of page